Quelpart-제주도

“I should write again” — I whispered my ego frantically.
But I can’t, so I wrote you an anthology, about an island south-of South Korea, in broken French (Français cassé).
L’île de Jeju
Les prairies jaunes, ils ne me disent rien
La brise de l’océan frissonne froide, la rue vide se moque de mon la vanité
Je renaîtrai une deuxième, quand nos regards se croiseront à nouveau
Pourtant, tu l’as accueilli, pourtant tu t’échappes du monde sans remarques,
Pour moi, l’étranger que tu as choisi de faire un voyage sur ta douce patrie, trois jours en octobre, libre et magnifiquement maladroit
Je maudis la mémoire flagrante construite par le voyage simple
Pourtant, la poésie de mon monde est pleine d’erreurs, elle ridiculise l’attraction de bénédiction dans laquelle nous avions autrefois
Le ciel a l’air timide, un avion est passé, je serai bien assez tôt
Et je ramène à la maison avec moi, la tristesse et le regret
Puis-je enterrer avec toi, un souvenir cryptique d’anomalies, de rêves humains lointains
Pour quelqu’un d’autre, je ne peux pas décider, doivent-ils avoir cette récurrence ou non
Tu es mort sans que je le sache…
En promenade
Le gigantesque paquet, se tient devant comme rien d’autre
De même la ville était fermée alors que les nuages tombaient
Maintenant, porte-moi ton air le plus bas, il chantera les petites houles
Portez-moi le poteau de signalisation et un carrefour vide à prêter
À cette échoppe décontractée, avec leur chaise longue au bord de la mer
Ceux-ci et tout ce que j’aimais le plus, notre temps dû aux courts-métrages
Pourtant, je suis toujours là, volontairement et je ne perdrais jamais
l’océan se brise !
Envie ces jours-ci je suis
La recherche de piste et la crampe mentale
Je suis resté assis et je continue de perdre, pâle et damné
O voudrais-tu, lis-moi ta carte postale, la coutume faite pour la vieille dame
Mon simple cadeau, considéré comme bien plus grandiose que l’argent
Bien que l’argent dont tu as besoin, l’argent je suis mince
Mais ce cadeau ne sera pas avec vous, vos outils de pêche, ni avec moi
Envie ces jours-ci je suis
Désir d’oublier, le rêve fatigué
Mille fois j’ai pensé à toi
Pourtant, cette terre n’a jamais été mienne et ne le sera jamais
Allez-y, l’océan se brise !
Les rochers, les nuages, c’est pareil…
Prairie
Vos pensées sont dues demain
En début d’après-midi, j’irai vers toi
Même dans la plus grande partie du soleil brûlant, pourtant votre cœur froid, vos pieds lourds, votre vaisseau chatouillant, alignés dans un mélange si étrange que vous ne pouvez pas tout à fait dire
Quels sont ces mots que vous avez regardés ?
Le seul signe pour la terre étrange
Souhaitez-vous regarder devant vous, vers le vaste horizon ?
Pour nous aider à nier notre compréhension de la similitude, l’attirance imaginaire aveuglante
Car nos cerveaux sont pollués de fausses cartes et de la cognition
Marche avec moi maintenant, vers la prairie !
Changer fleurit le courage, constant à l’âme…
En promenade II
Allées sous la lune
Les lumières jaillirent alors que nous tenions debout
Si seulement je les connaissais très bientôt
Je nous demanderai de danser avec sa mélodie
Nous sommes dissous, à travers la nuit avec chaque compagnon
Tu frappes concrètement, ton existence floue au bord de l’étang
La fin et l’immobilité de notre son, cette nation cachée
Les jours étaient longs, au soleil levant nous serons partis
Invoquez ce rêve, le reflet imaginaire…
Regarde el est
Rivages et falaise, le vent était las
Les prés sont moches, les insectes ont sauté pour leur plaidoyer
il semble que je ne peux pas vivre dans le présent ces jours-ci
L ‘esprit erre toujours pour les mondes lointains
Riche en vision, mais vide rétrospectivement
Je vais m’asseoir là pendant dix bonnes minutes
Pourtant, la route était haute Et m’appelant alors que j’avais hâte de continuer le zonage
Les lieux restent les mêmes, les noumènes se sont cachés pendant l’époque considérée
Pourtant, j’ai assez confiance en moi pour raconter cette connaissance frauduleuse et injuste
Pour eux ce que j’ai toujours pensé comme le sauveur Jusqu’à ces jours j’ai trahi à tort
Je penser réellement Que nous n’étions plus que des points et des lignes
Dessiner nos cartes individuelles
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Well, that’s about it. Poems don’t always have to rhyme you know…